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PORTRAIT d'ERIC BACHELARD
L'HOMME À LA CONNEXION AVEC L'INVISIBLE EN 5G
 

Il y a des histoires qui défient la raison, des parcours qui ébranlent les certitudes. Celui d’Éric Bachelard en fait partie. Ancien sceptique du monde de la médiumnité, il est aujourd’hui reconnu pour une faculté singulière : une connexion fulgurante avec l’invisible, si rapide et précise qu’il la compare lui-même à une connexion 5G spirituelle. Tout a commencé dans une maison d’Alsace, il y a une dizaine d’années. À cette époque, Éric mène une vie ordinaire, ancrée dans la logique et le concret. Le paranormal ? Une fiction pour les amateurs de frissons. Jusqu’à ce que, sans prévenir, l’inexplicable s’invite dans son quotidien. Des bruits, des déplacements d’objets, des sensations de présence… puis un soir, une manifestation si troublante qu’elle changea à jamais sa vision du monde. Ce qu’il prenait pour des hasards devint des signes. Ce qu’il pensait être le fruit de l’imagination se transforma en révélations d’un autre plan. “Je ne cherchais rien. C’est l’invisible qui est venu me trouver.” Cette nuit-là marque le point de départ d’un cheminement intérieur hors du commun. Peu à peu, Éric découvre qu’il perçoit des messages, des images, des émotions appartenant à d’autres — vivants ou défunts. Ce don, qu’il décrit aujourd’hui comme un “canal direct entre deux mondes”, se précise au fil des années. Avec le temps, il comprend que ce lien n’est pas nouveau : il l’habite depuis toujours. “C’est comme si, enfant, j’avais déjà les pièces du puzzle… mais il m’a fallu l’expérience et la maturité pour les assembler.” Une connexion à la vitesse de la lumière Aujourd’hui, après près de dix ans de pratique en médiumnité, voyance et profilage intuitif, Éric Bachelard est capable de se connecter à un défunt en quelques secondes, simplement avec un prénom et un lien de parenté. Il capte des informations si précises — des détails, des expressions, des souvenirs que seul le consultant connaît — qu’il laisse souvent son auditoire sans voix. “Je dis souvent que j’ai une connexion 5G avec l’invisible : rapide, nette, instantanée”, plaisante-t-il, avec cette simplicité qui désarme. Mais derrière l’humour et la curiosité du public se cache une démarche profondément humaine. Pour Éric, la médiumnité n’est pas un spectacle : c’est un pont entre deux réalités, un moyen de réconcilier les vivants et les disparus, de ramener la paix dans les cœurs. De l’ombre au partage Depuis 2019, Éric sillonne la France et le Québec pour animer des conférences, des rencontres publiques et des chroniques radio où il partage ses expériences et ses messages venus d’ailleurs. Chaque intervention est une expérience à part : des séances remplies d’émotion, parfois d’humour, souvent bouleversantes. Il parle aux défunts, mais surtout, il redonne du sens à la vie. “Mon rôle n’est pas de prouver. Il est de relier. De transmettre. Et de rappeler qu’au-delà du visible, il existe un monde qui nous aime encore.” Son approche unique — mélange de rationalité, de sensibilité et d’humour — séduit un public de plus en plus large. Certains viennent chercher un signe, d’autres une réponse. Tous repartent transformés. Aujourd’hui, Éric Bachelard incarne une nouvelle génération de médiums, ancrés dans leur temps, à la croisée du spirituel et du scientifique. Un homme moderne relié à l’invisible, avec une fréquence bien à lui. Et si la 5G connecte les humains entre eux, lui a trouvé le moyen de connecter les âmes.

Je vous présente mon Guide, Pépé Tony

Pépé

Je vous présente MONSIEUR Antoine Bachelard, surnommé pépé Tony, mon arrière-grand-père et mon ange gardien, mon "Guide".

C'est lui qui a sauvé la vie de ma femme et, par ricochet, a évité que ma petite fille ne devienne orpheline de mère à 5 ans et moi veuf à 47 ans.

 

Cette PHOTO est le plus beau cadeau de Noël de ma vie. En effet, je ne l'ai jamais connu personnellement. Lorsque j'ai reçu cette photo, c'était la première fois que je le "rencontrais physiquement" ! Enfin, je pouvais associer un visage à son nom. Antoine est parti en 1954 ou 1955. Et depuis 2017, il me guide, me soutient, et sait aussi me sermonner avec beaucoup d'amour quand il le faut (oui, je sais, c'est paradoxal).

Cette photo a probablement été prise dans les années 40. Elle se trouvait à plus de 8000 kms de l'endroit où je vis.

 

Merci à ma maman, à Aurelia et à ma petite sœur Anne qui ont formé cette chaîne humaine pour me la faire parvenir aujourd'hui. Comme on le dit aujourd'hui : "T'es un beau gosse ! Avec beaucoup d'élégance". Pour information, sa femme Marthe lui confectionnait tous ses vêtements, pantalons, chemises, vestes sur mesure ! Elle était couturière et pour elle, il était hors de question que son mari soit mal habillé !

Je t'aime, PÉPÉ.

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